La dyspareunie désigne toute « douleur génitale persistante ou récurrente, ressentie pendant ou après un rapport sexuel ».
Même si la recherche travaille depuis quelques années à améliorer le diagnostic, la prise en charge et les traitements, les causes de l’endométriose sont encore à ce jour assez mystérieuses, ne permettant toujours pas de dépistage.
Le vaginisme se traduit par une impossibilité de pénétrer à l’intérieur du vagin ; qu’il s’agisse d’un acte sexuel ou d’un examen médical.
La vulve est l’ensemble des organes génitaux externes de la femme. Le prurit vulvaire désigne ces démangeaisons intimes.
La mycose vaginale se traduit par une infection de la vulve et du vagin (vulvo-vaginite) avec des pertes blanches plutôt épaisses.
On parle de cystite interstitielle pour désigner une inflammation de la vessie dont l’origine n’est pas infectieuse.
La Bartholinite est une infection gynécologique courante. On estime que 2% des femmes seraient concernées par cette infection au cours de leur vie, principalement entre 20 et 29 ans.
On distingue généralement deux virus de l’herpès : le HSV-1 et le HSV-2 touchant localement la sphère orale ou génitale.
Une mauvaise odeur vaginale est généralement le signe d’une infection gynécologique (vulvo-vaginite), même si l’odeur du vagin varie.
On parle de vulvodynie lorsqu’on éprouve de la douleur sur les parties intimes qui forment la vulve : pubis, les lèvres, le clitoris, etc.
Comment soulager les symptômes de l’endométriose ? Comme le souligne la HAS, « l’endométriose est une maladie mal repérée ».