Clitoris : rôle, anatomie, taille, orgasme

Clitoris : rôle, anatomie, taille, orgasme

Le clitoris est souvent considéré comme la version féminine du pénis et a été moins étudié que son homologue masculin. Pourtant, il est bien plus que cela : il est au centre du plaisir féminin et de l’orgasme !

Situé à l’intérieur de la vulve, seuls son capuchon et son gland sont visibles de l’extérieur. On distingue généralement 4 parties : les piliers, le corps, le gland et les bulbes, en plus de la pars intermedia, assez méconnue du grand public. 

Nous détaillerons pour vous dans cet article son anatomie, sa taille et son rôle dans l'orgasme. Et à plus large échelle, la jouissance sexuelle féminine, qui implique souvent un équilibre entre des facteurs physiques et émotionnels. 


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Définition : clitoris

Le clitoris appartient aux organes génitaux externes féminins, bien qu’il s’enracine profondément autour du vagin. Comme le pénis, sous l’effet de l’excitation, il se gonfle de sang. Ce qui en fait un organe érectile au même titre.

L’appareil érectile féminin comprend non seulement le clitoris mais aussi les bulbes vestibulaires ou “bulbes du clitoris”. 

Pour cette raison, les scientifiques parlent davantage de complexe clitoridien ou de l’organe bulbo-clitoridien, car il est plus complexe qu’il n’y paraît, et surtout, parce qu'il a longtemps été ignoré ou mal compris à travers les âges.

Le complexe clitoridien comprend donc :

  • Les piliers du clitoris ;
  • Son corps ;
  • Le gland ;
  • Les bulbes du clitoris ;
  • Et la pars intermedia
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Le clitoris.

Comment trouver le clitoris ?

Situé à l’intérieur de la vulve (ensemble des organes génitaux externes dela femme), le clitoris est situé en dessous du mont de Vénus et en haut/milieu des lèvres.

Il est en fait en grande partie dissimulé sous des faisceaux de muscles, entourés par endroits par des vaisseaux sanguins et des tissus conjonctifs ou spongieux. La seule partie visible est son gland, qui est lui-même recouvert d’un capuchon.

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Schéma d'une vulve féminine.

Anatomie du clitoris

Le clitoris est constitué de 4 parties que nous allons détailler : les piliers, le corps, le gland et les bulbes, auxquels s’ajoute la pars intermedia, elle-même constituée du plexus veineux de Kobelt, entouré de tissus. 

Les deux piliers forment les corps caverneux, à l’image d’un V inversé, insérés sur les branches ischio-pubiennes. 

Ces deux branches se réunissent ensuite sur la ligne médiane pour constituer le corps du clitoris, qui se fond avec le corps spongieux : on parle de la partie ventrale du corps du clitoris, dont l'extrémité se termine par le gland.  

Connectées au corps clitoridien, les bulbes clitoridiens entourent l’urètre et ont un rôle primordial dans la transmission des sensations, de la stimulation, à partir de la zone clitorido-urétro-vaginale. 

Enfin, un ligament suspenseur permet au clitoris de s'insérer définitivement à la symphyse pubienne (l’articulation antérieure du bassin, entre les os coxaux). Ce ligament est lui-même constitué de deux parties :

  • Prenant naissance dans le mont de Vénus, une structure fibro-graisseuse converge sur le corps du clitoris, avant de s’étendre dans les grandes lèvres ;
  • Un feuillet fibreux, s’étendant du corps du clitoris à ses bulbes à partir de la symphyse pubienne, qui constitue la structure profonde du ligament suspenseur ;

L’innervation du clitoris 

Le clitoris est constitué d’environ 15 000 récepteurs, répartis autour du tissu érectile du gland, que l’on appelle l’albuginée. Mais à plus large échelle, des récepteurs sont présents dans toute la vulve, permettant la réception des stimuli sensoriels.

Via le nerf dorsal du clitoris et la branche périnéale du nerf pudendale, la transmission des influx sensitifs est rendue possible pour atteindre la symphyse pubienne et sa moelle, permettant ainsi l’érection du clitoris, en comprimant son retour veineux. 

Tous ces nerfs sont eux-même connectés avec les muscles ischio-caverneux, les muscles du périnée et les muscles bulbo-caverneux, qui se fondent ainsi dans le noyau central du périnée, assurant sa stabilité et ses fonctions. 

Tous ces muscles entourent ce qu’on nomme le complexe clitoro-urétro-vaginal, en plus des muscles releveurs de l’anus, et s’imbriquent de manière complexe. 

Certaines études ont révélé, après une dissection minutieuse des petites terminaisons nerveuses, une concentration accrue de ces structures musculaires et tissulaires dans la partie inférieure et antérieure du vagin : ils s’agit pour ces auteurs de la fameuse zone du point G. 

Les piliers du clitoris 

Il s’agit de 2 corps caverneux, qui comme pour celui du pénis, peuvent gonfler sous l’effet de l’excitation. L’enveloppe fibreuse qui recouvre ces tissus érectiles est appelée l'albuginée. 

Ces deux piliers descendent le long de la face interne des branches ischio-pubiennes des os du bassin, en s’y accrochant fermement. 

Lorsque ces muscles se contractent, le sang est chassé des piliers vers le corps du clitoris, améliorant son érection. 

Le corps du clitoris 

Les deux corps caverneux des piliers du clitoris se réunissent pour former le corps du clitoris ; l’ensemble est enveloppé par l’albuginée. Le corps du est d'abord situé vers l’avant et le haut, dans le prolongement des piliers, avant de se couder pour former le “genou” ou la “tige” du clitoris. 

C’est au niveau du genou que le ligament suspenseur maintient le corps du clitoris à la symphyse pubienne. Sous l’effet de l’excitation, le corps du clitoris, comme ses piliers, entre en érection. Il augmente de volume, mais ne se redresse pas ; il semble plutôt se raffermir. 

Le gland du clitoris 

Le gland du clitoris est de forme oblique. Il s'agit de la seule partie visible du clitoris, à l’extrémité des corps caverneux. Il est principalement constitué de tissus conjonctifs, et par endroits de tissus érectiles ; toutefois, les études ne sont pas unanimes sur ce dernier point.

Proche de l’albuginée dans sa face interne, il est recouvert dans sa face externe d’une muqueuse. Il est est parfois complètement dissimulé derrière un capuchon (une fine membrane de peau) ou par les petites et/ou les grandes lèvres. 

Un frein le rattache aux petites lèvres par un mince repli cutané, le frein du clitoris. 

Mais en fonction des femmes, le gland peut être quasi à découvert, d'autres complètement dissimulés ; certaines ont des petits, gros, avec différentes formes, etc. Et il y aussi le cas du gland du clitoris encapuchonné, qui lui ne sort pas du tout.

Les bulbes du clitoris 

Les deux bulbes sont constituées de tissus érectiles identiques que les corps caverneux, d’un corps spongieux, mais ne sont pas enveloppés d’une albuginée. Un réseau de veines (plexus de Kobelt) permet aux bulbes de communiquer avec le corps du clitoris, près du genou du clitoris. 

Les deux bulbes se rejoignent au-dessus de l’urètre, juste sous la base du corps du clitoris, avant de descendre le long de l’urètre, en se terminant de part et d’autre du vagin. Même s’ils ressemblent aux piliers, les bulbes ne sont pas enfouis aussi profondément. 

Ils sont recouverts par les muscles bulbo-spongieux (des fibres musculaires), qui s’insèrent en arrière au niveau des muscles transverses du périnée, avant de se rejoindre au niveau du genou ou de la tige du clitoris. 

Lorsqu’ils se contractent, ces muscles augmentent l’érection du clitoris en envoyant le sang des bulbes vers le corps du clitoris, mais également en comprimant la veine dorsale du clitoris. 

La pars intermedia 

Cette zone pyramidale est située entre le haut des bulbes et le corps du clitoris. Ses contours sont mal définis et cette partie du clitoris est généralement absente des schémas ou des photographies d’anatomie. 

Elle est formée du plexus veineux de Kobelt, reliant les bulbes au corps du clitoris, ainsi que du tissu conjonctif qui entoure le corps du clitoris. 

Ressemblant au corps spongieux, des études récentes ont révélé que ces tissus n’étaient pourtant pas érectiles ; ils entretiennent toutefois une connexion vasculaire entre les bulbes et le corps du clitoris, mais également avec les vaisseaux du vestibule, qui communiquent avec les petites lèvres.  

Combien mesure le clitoris ?

La littérature scientifique à ce sujet est peu nombreuse ou ont porté sur des échantillons de petite taille. Donc, les mesures actuelles peuvent ne pas forcément représenter la population générale. 

Par exemple, à l’exception du gland du clitoris, la largeur du clitoris est très peu évoquée ; et de manière générale, les longueurs du gland et de la tige sont davantages renseignées que les autres mesures du clitoris (piliers, genou du clitoris, etc.). 

Une autre complication concerne la variabilité interindividuelle relevée en fonction des caractéristiques démographiques des échantillons observés. La méthode employée pour mesurer les différentes parties du clitoris (IRM par exemple) peut également influencer les résultats selon la prise de vue. 

Enfin, dernière difficulté, selon les auteurs, la terminologie peut ne pas désigner la même chose. Le gland, par exemple, ne désigne pas toujours la même chose, qu’il s’agisse d’un examen gynécologique, d’un examen par IRM ou d’un examen histologique (analyse microscopique des tissus). 

Néanmoins, nous pouvons vous donner une idée des mesures habituelles du clitoris et des bulbes en regroupant les chiffres de toutes les études récentes. 

On peut retenir d’après les études disponibles à ce jour, que le clitoris mesure entre 10 et 13cm de long, dont 5 à 7 cm pour son corps avec le gland compris. Les bulbes du clitoris seraient compris entre 3 à 4 cm de long au repos et jusqu’à 7 cm en érection. 

Plusieurs auteurs précisent que ces mesures peuvent varier “selon les personnes et pourraient dépendre de l’âge et de l’oestrogénisation”. 

Quel est le rôle du clitoris dans le plaisir sexuel ?

Son rôle est absolument central ! Aujourd’hui, aucune étude ne prouve l’existence d’une innervation sensitive du vagin (ou de n’importe quelles autres zones érogènes) semblable à celle du clitoris. 

Et pour cause, le gland du clitoris comprend entre 8 000 et 10 000 terminaisons nerveuses ; soit plus du double du pénis masculin ! 

Il s’agit donc de la zone érogène féminine principale, extrêmement innervée et vascularisée ; ce qui peut le rendre très sensible, voire douloureux lors d’une stimulation directe ou mal amenée. Comme le pénis, sous l’effet de l’excitation, il se gorge de sang grâce à ses différents tissus érectiles. 

Il est raisonnable aujourd’hui de penser que ses parties les plus sensibles sont le gland, dans une certaine mesure le corps du clitoris et la jonction des 2 bulbes. 

Comment stimuler le clitoris ?

Il est possible de stimuler la zone érogène primaire, à savoir directement sur le gland du clitoris, ou les zones secondaires : 

  • Le corps du clitoris à travers son capuchon ;
  • Par l’intérieur du vagin ;
  • A proximité de l’orifice vaginal ;
  • Ou encore par pression au niveau de la base du corps du clitoris. 

Mais selon les femmes, le clitoris peut être très sensible, et elles préfèreront une stimulation indirecte.

Par exemple, la compression des piliers provoquée par la contraction des muscles ischio-caverneux, ou encore la compression des bulbes exercée par la contraction des muscles bulbo-spongieux, par une pénétration, peut procurer beaucoup de sensations, sans forcément stimuler le clitoris directement.

C’est d’ailleurs ce qu’il se passe lorsqu’on parle d’orgasme vaginal : ce sont en fait les frottements, les pressions et les contractions musculaires qui vont venir stimuler différentes zones du clitoris. 

Enfin, de même que chez les hommes, les femmes peuvent aussi développer des zones érogènes secondaires au fil du temps, parsemées sur tout le corps, de façon aléatoire selon le vécu des personnes.  

Connaître son corps 

Plus on connaît le fonctionnement physique et psychologique de son corps et plus on sera en capacité de prendre du plaisir ! Toutes les femmes n’auront pas les mêmes sensations, aux mêmes endroits, avec le même type de stimulations, mais ce qui est sûr, c’est que l’accès au plaisir est possible pour toutes les femmes. 

Le tout est de trouver sa manière de se stimuler, que ce soit psychologiquement ou physiquement. Et comme nous l’avons dit plus haut, le clitoris est en réalité composé de nombreuses parties, elles-mêmes sensibles ou très innervées.

Il offre donc de nombreuses portes d’accès au plaisir. Et pas seulement au niveau de son gland ou de son corps. 

Explorez-vous, découvrez-vous, et trouvez la meilleure façon d’avoir des sensations agréables : il n’y a pas de mode d’emploi. Vous pouvez même vous observer avec l’aide d’un miroir, afin de bien localiser le clitoris, mais également votre vulve, les lèvres, etc. 

Masturbation, sex-toys, sexe sans pénétration…

De nombreux sextoys existent à ce jour, entièrement dédiés au plaisir féminin : vibromasseurs, stimulateurs clitoridiens… Tout dépend des types de sensations que l’on recherche : 

  • Directes ou indirectes au niveau du gland du clitoris ; 
  • Pénétrant et.ou vibrant ;
  • Ou bien uniquement vibrant, etc. 

L’un des plus connus à ce jour et vendus dans le monde entier est produit par la société Wow Tech, le célèbre Womanizer. Sa technologie à air pulsé, stimule indirectement le clitoris. C'est-à-dire qu'il ne rentre pas en contact direct avec lui, mais lui envoie de l’air par petites pulsations.

Mais il existe aujourd'hui de nombreux modèles qui possèdent les mêmes propriétés, à différentes gammes de prix. 

Petits conseils pratiques

  • Déterminez le type de stimulations que vous recherchez : vous souhaitez stimuler votre clitoris en surface ? Stimuler le vagin en même temps que le gland du clitoris ? Seulement pénétrant, vibrant ? Chaque sextoy a ses spécificités et un usage destiné à stimuler des zones bien précises. Certains ont des options waterproof, d’autres peuvent se connecter pour être activés à distance, des sextoys peuvent s’utuliser à deux...
  • Choisissez bien votre lubrifiant ! Nous vous conseillons des lubrifiants à base d’eau et sans silicone. D’une part ils respectent mieux la flore vaginal, et d’autre part le silicone peut abîmer certains sextoys ;
  • Prêtez attention à la matière et à la rigidité. Vérifiez notamment que votre sextoy ne contient pas d’asphaltes ou d’autres produits chimiques ;
  • Si vous achetez votre sextoy sur internet, pensez aussi à la taille de votre sextoy, particulièrement s’il est pénétrant ; la taille ne procure pas nécessairement plus de plaisir et un sextoy trop gros n’est peut-être pas adapté au départ ;

Et dernier point et non des moins importants : veillez à bien nettoyer votre sextoy après usage ! 

D’ailleurs, c’est la première chose à faire avant chaque utilisation et après l’avoir utilisé. Les muqueuses du vagin libèrent en effet des sécrétions. Donc, des bactéries pourraient se développer sur l’objet s'il n'est pas nettoyé.

Rincez-le sous l’eau avec du savon (à pH neutre serait l’idéal), séchez-le, et rangez le dans un endroit propre !

Comment avoir un orgasme clitoridien ou vaginal ?

On peut souvent lire que plusieurs orgasmes existent, clitoridien ou vaginal… C’est en partie vrai et en partie faux. En fait, il existe différentes intensités d’orgasmes, qui peuvent parfois procurer plus de sensations à l’intérieur du vagin, ou bien au niveau du clitoris, etc. 

Mais c’est bien le clitoris, l'organe sexuel féminin principal : c’est lui qui déclenche l’orgasme. Même quand il est stimulé indirectement, par exemple, lors de la pénétration. Et si son gland est la partie visible du clitoris, il peut être stimulé à de nombreux autres endroits. Par exemple, près de l’orifice vaginal, à l’intérieur du vagin, aux niveaux des lèvres…

Donc en réalité, l’accès à l’orgasme nécessite davantage une alchimie, une connaissance physique et émotionnelle de son propre corps, de ses zones érogènes et de ce vous excite sexuellement.

S’explorer à travers la masturbation est un bon moyen de prendre du plaisir et le découvrir. Prendre le temps, de caresser différentes zones du corps, et pas uniquement la zone génitale. 

C’est votre orgasme, expérimentez-le de toutes les manières qu’il vous plaît !

Clitoris irrité, douleurs : quelles sont les causes ?

Le clitoris est très sensible et peut donc s'irriter facilement. Notamment à cause du port de vêtements trop serrés (sous-vêtements, pantalons…), à cause d’une allergie à une matière synthétique, d’un excès d’hygiène, etc.

Il peut aussi subir des frottements trop intenses lors d’un rapport, ce qui le laissera irrité après. Mais généralement, rien de méchant et les choses rentrent normalement dans l’ordre. Il est donc souvent recommandé d’utiliser un lubrifiant adapté, et pas uniquement lorsqu’on souffre de sécheresse intime.

S'agissant des maladies, une IST comme l’herpès ou encore une mycose vaginale peut être à l'origine de douleurs vulvaires. Et donc concerner le clitoris. Certains signaux d’alerte doivent vous pousser à consulter, notamment en présence de symptômes tels que des écoulements anormaux et/ou une odeur vaginale anormale

Enfin, certaines femmes peuvent être concernées par des vulvodynies ou des vulvo-vestibulites. Cela engendre des douleurs lors des rapports, localisées à un endroit précis de la vulve ou bien diffusément.

Si c’est le cas, nous vous recommandons d’en parler à votre gynécologue ou une sexologue en ligne

Ce qu’il faut retenir sur le clitoris

La stimulation du clitoris est au centre du plaisir féminin et entretient avec le cerveau et l’orgasme un lien privilégié. 

Sa stimulation activent de nombreuses zones du cerveau, qui permettent à leur tour par des sécrétions hormonales d’améliorer le flux sanguin vaginal, facilitant les caresses ou la pénétration. Mais le cerveau peut même indépendamment du clitoris mener à l’orgasme ! 

Il a été prouvé par exemple que certaines femmes peuvent avoir un orgasme en rêvant, sans aucune stimulation physique. 

Le clitoris reste quand même la structure la plus essentielle pour le plaisir sexuel féminin. Il est au centre de la réponse orgasmique et est embryologiquement homologue au pénis masculin. 

Alors que la source de l'érotisme vaginal pourrait ou non être exclusivement une stimulation clitoridienne, il est nécessaire de comprendre l'anatomie complexe de cet organe, qui communique avec tout le reste du corps. 

En fin de compte, la jouissance sexuelle implique un équilibre entre les facteurs physiques et émotionnels et devrait être encouragée.

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